1/07/2009

2000 neuf

Il est peut-être un peu tard pour parler des résolutions pour l'année qui s'en vient, mais bon. Les premiers jours de janvier sont pour moi le moment de faire bien des choses.

Faire le point sur ce qui s'en vient pour moi, ce que j'appréhende, ce que j'entrevois. On est jamais trop certain de ce que l'on veut pour nous, selon moi. Cette année, je la vois très belle. Elle s'annonce très bien, sans farce. De beaux moments en perspective, avec des gens que j'aime. Et des études dans un domaine passionnant.

Par ailleurs, les débuts d'année sont aussi des moments propices à certaines réflexions personnelles. Réfléchir sur mes actions et mes façons de voir la vie. Un espèce de bilan de parcours. Qu'est-ce que je voudrais améliorer chez moi, les choses à éviter. Bref, que devrais-je améliorer pour être une meilleure personne?

Ce n'est pas une question simple. Par contre, c'est, à mon avis, dans cette optique que doivent être développées les résolutions annuelles. Et pas des résolutions en l'air, comme peuvent l'être certaines paroles de politiciens. De vrais buts, aussi simples soient-ils.

On y va selon ce qu'on est capable de donner. Il y a les classiques : arrêt de tabagisme, plus de sports, perte de poids. Dans la mesure où elles sont réalisables et qu'il y a de la volonté de la part des personnes, on peut affirmer que bien des choses sont possibles.

Plus largement, qu'est-ce que je peux faire pour améliorer le monde? Le monde, une belle grosse affaire, ouais. J'aimerais plus de solidarité, d'amour et de paix, mais ce serait trop en demander, je crois. J'ai bien aimé la résolution de la blonde de mon cousin, qui désire, cette année, utiliser le plus possible des sacs réutilisables quand elle achète. De mon côté, juste de dire aux gens que j'aime que je les aime.

Mais qu'est-ce qu'on peut se souhaiter, collectivement? Plus d'engagement, peut-être bien. C'est une belle chose que de s'impliquer dans une cause qui nous tient à coeur, peu importe laquelle. Un projet un peu gros, avouons-le, mais bien envisageable. On est bien nombreux, moi le premier, à s'attarder à notre propre personne. Se donner du temps pour s'intéresser et aider ceux qui nous entourent, il me semble que ce serait pas pire.

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