10/21/2008

Face de bettes

Je pensais bien que c'en était à peu près fini de cette dépendance. Mais voilà qu'elle me revient en pleine face, au même moment où Beauté s'ajoute au réseau.

Pourtant, dans ma tête, il y a quelques semaines à peine, l'affaire était classée. Ce n'était qu'une question de temps avant que je délaisse, presque totalement, la chose. Ces derniers jours, toutefois, j'ai remarqué à nouveau à quel point ça pouvait être intéressant de se joindre au monstre qu'est devenu Facebook.

Depuis assez longtemps, le truc est devenu big. Un peu trop peut-être. Mais il a ses avantages.

"Quelle sorte de schtroumpf es-tu?" À quoi ça peut bien servir de savoir ça? À rien, tout à fait. Tout comme il est inutile de se lancer des balles de neige et s'échanger des cadeaux. Sauf que l'affaire permet bien des choses, fort intéressantes. En plus de peut-être reprendre contact avec d'anciens amis, il est possible d'explorer plus en détails les personnalités d'individus qu'on croyait pourtant bien connaître. On peut aussi partager photos et intérêts avec les autres membres.

De plus, pour les contacts, c'est assez merveilleux. On peut retracer à peu près n'importe qui par les amis des amis, et ainsi se créer un beau réseau.

Cependant, c'est lorsque ça devient une drogue qu'il y a un problème. Max une demi-heure par jour. C'est le temps maximal que je me suis fixé. Au-delà cette limite, je crois que la productivité de la journée s'en voit sérieusement altérée. De même que la santé mentale de l'utilisateur.

Car, il faut bien l'avouer, avec Facebook, la consultation de courriels et de blogues, la rédaction d'un blogue (désolé encore pour l'absentéisme prolongé), le temps manque. Tout ça sans travail et sans enfants.

Qu'est-ce que ça va être dans 10 ans?

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